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  • Pamphlet : Halte au système Hawala et aux réseaux d’argent sale entre Abidjan et Paris !

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    Halte au système Hawala et aux réseaux d’argent sale entre Abidjan et Paris !

    Un système de corruption à grande échelle gangrène notre nation. L’élite politico-économique ivoirienne détourne des fonds publics et utilise des circuits financiers clandestins de type “hawala” pour transférer d’énormes sommes d’argent en espèces entre Abidjan et Paris. Ce vaste réseau, exposé par une enquête française, met en lumière des pratiques qui trahissent la confiance du peuple ivoirien.

    Un détournement de la souveraineté financière

    Sous prétexte de protéger des intérêts économiques ou diplomatiques, certains hauts responsables ivoiriens se livrent à des pratiques qui relèvent de la criminalité financière. Ces réseaux parallèles, opérant dans l’ombre, ne servent qu’à enrichir une poignée d’individus, alors que la majorité de la population lutte pour survivre. Les fonds siphonnés appartiennent au peuple ivoirien, et chaque billet transféré illégalement représente une école non construite, un hôpital sous-équipé, ou une route non bitumée.

    La complicité des élites

    Au cœur de ce scandale se trouve Hassan Dakhlallah, magnat du BTP, soupçonné d’avoir tissé des liens troubles avec des ministres influents, dont Téné Birahima Ouattara et Amédé Koffi Kouakou. Ces hommes, censés défendre les intérêts de la nation, préfèrent s’associer à des réseaux d’argent sale, accumulant voitures de luxe, appartements parisiens et privilèges indécents.

    Préparer un changement de régime ou protéger ses intérêts ?

    Ce transfert d’argent massif pourrait-il être une anticipation d’un changement de régime politique en Côte d’Ivoire ? Ces personnalités savent-elles que leur gestion du pouvoir touche à sa fin et cherchent-elles à sécuriser leurs biens à l’étranger ? Quoi qu’il en soit, cela révèle une faillite morale et politique de ceux qui se prétendent nos dirigeants.

    Le silence coupable

    Pourquoi le gouvernement ivoirien reste-t-il muet face à ces révélations ? Pourquoi ces personnalités soupçonnées de corruption continuent-elles d’occuper des postes stratégiques ? Le peuple a le droit d’exiger des réponses claires, des enquêtes transparentes et des sanctions exemplaires. L’impunité des puissants ne peut plus être tolérée.

    Un appel à la vigilance citoyenne

    Chers citoyens, il est temps de dire NON à ces pratiques qui sapent les bases de notre économie et de notre souveraineté. Nous devons exiger une réforme en profondeur de nos institutions financières et une justice indépendante capable de traduire en justice les corrompus, quels que soient leurs titres ou leurs relations. Il est également essentiel de dénoncer ce type de réseau et d’exiger que ces fonds détournés soient restitués pour le développement de la Côte d’Ivoire.

    Ensemble, combattons la corruption, le blanchiment d’argent et ce système “hawala” qui privilégie les intérêts d’une minorité au détriment de la majorité. Le changement commence par la prise de conscience collective.

    Le peuple ivoirien ne doit pas payer le prix de l’enrichissement illégal de quelques-uns. Agissons avant qu’il ne soit trop tard.

    C’EST QUOI UN SYSTEM “HAWALA”

    Les circuits financiers clandestins de type “hawala” sont des systèmes informels de transfert d’argent utilisés pour envoyer des fonds d’un endroit à un autre sans passer par les institutions bancaires traditionnelles. Ces circuits reposent sur un réseau de confiance entre intermédiaires, appelés “hawaladars”, qui facilitent les transactions sans laisser de traces écrites ou électroniques.

    Comment fonctionne le système hawala ?

    1. Le transfert initial :

    Une personne (le donneur) donne une somme d’argent en espèces à un hawaladar local dans son pays ou sa ville.

    2. Le transfert via le réseau :

    Le hawaladar contacte un autre intermédiaire dans le pays de destination et lui demande de remettre l’équivalent de la somme à un bénéficiaire. La transaction repose uniquement sur la confiance et un code ou une information partagée entre le donneur et le bénéficiaire.

    3. Compensation ultérieure :

    Les deux hawaladars règlent la transaction entre eux plus tard, souvent via d’autres opérations commerciales, des biens ou des transferts discrets.

    Caractéristiques principales :

    Absence de traces formelles : Aucun document ou système bancaire n’enregistre ces transactions. Tout se fait hors des radars des régulateurs.

    Rapidité : Les transferts sont presque instantanés.

    Anonymat : L’identité des donneurs et des bénéficiaires est rarement révélée.

    Utilisation et dérives :

    Le système hawala est couramment utilisé dans certaines régions du monde pour des raisons pratiques ou culturelles, notamment :

    • Pour envoyer de l’argent dans des zones où les banques sont peu accessibles.

    • Pour éviter des frais bancaires élevés ou des délais de traitement.

    Cependant, cette méthode est également exploitée pour des activités illégales, telles que :

    Blanchiment d’argent : L’argent sale provenant de la corruption ou du crime organisé peut être transféré discrètement.

    Évasion fiscale : Ces transactions échappent aux autorités fiscales.

    Financement illicite : Le système peut être utilisé pour financer des activités terroristes ou d’autres activités criminelles.

    Pourquoi cela inquiète dans le cas ivoirien ?

    Dans l’affaire révélée par Africa Intelligence, le système hawala semble avoir été utilisé par l’élite politico-économique ivoirienne pour :

    Blanchir des fonds publics détournés.

    Transférer des sommes importantes entre Abidjan et Paris, en contournant les systèmes financiers classiques et les contrôles réglementaires.

    Soutenir des réseaux illégaux, comme l’achat de biens de luxe ou d’actifs immobiliers en France.

    Ce système, qui favorise l’opacité et l’impunité, menace l’intégrité des finances publiques et empêche la justice de retracer l’origine des fonds.

    JACQUES ROGER

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