Les zones d’ombre autour du président de la FIF, Idriss Diallo, et les confusions autour de son équipe technique

La Fédération Ivoirienne de Football (FIF) est actuellement sous les feux des critiques en raison du manque de transparence entourant le président Idriss Diallo. Des questions subsistent sur ses origines familiales, étant donné que la biographie disponible en ligne omet de mentionner son histoire maternelle. Cette omission soulève des interrogations légitimes quant à la véritable identité et aux liens familiaux du président.

Une autre zone d’ombre concerne l’équipe technique de l’équipe nationale ivoirienne. Alors que le communiqué officiel de la FIF mentionne le limogeage du sélectionneur-entraîneur Jean Louis André Lucien Gasset et de son adjoint Ghislain Marie Joseph Printant, des contradictions apparaissent quant à l’identité réelle de l’adjoint. Si Faé Emmerse était supposé être l’adjoint de Gasset, des informations suggèrent qu’un Blanc occupait réellement ce poste et aurait été limogé en même temps que Gasset.

Ces incohérences suscitent des préoccupations quant à la gestion transparente et éthique de la FIF. Les soupçons de corruption et de copinage s’intensifient, alimentés par les divergences entre les informations publiques et les réalités du terrain.

La nécessité d’une clarification de la part de la FIF est impérative pour rétablir la confiance des supporteurs et du public ivoirien dans l’intégrité de la fédération. Les zones d’ombre persistent, soulignant l’importance d’une gestion transparente et responsable du football ivoirien.

En plus des zones d’ombre entourant son identité, le président Idriss Diallo fait preuve d’arrogance et d’une incompétence notoire. Cette situation souligne la nécessité urgente de sa démission de la Fédération Ivoirienne de Football, une institution financée en partie par les contribuables ivoiriens. Les rôles joués par les affairistes Jacques Anoma et Roger OUEGNIN dans cette affaire sont également à dénoncer, car il s’agit de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, et non de l’Asec. Trop d’ingérence et de magouilles suggèrent une mafia bien structurée au sein de la fédération.

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