Suiver nos émissions – JacquesRogerShow Live – 7J/7 à partir 13H30-14H30 à New York, 17H30-18H30 à Abidjan et 19H30-20H30 à Paris

Bonjour, nous avons une excellente nouvelle à vous annoncer ! Après avoir mûrement réfléchi, nous avons réorganisé notre emploi du temps pour animer une émission quotidienne du lundi au dimanche.
Elle sera diffusée à partir de 13H30-14H30 à New York, 17H30-18H30 à Abidjan et 19H30-20H30 à Paris.
Cette émission sera entièrement dédiée aux sujets brûlants de la société ivoirienne, et parfois africaine. Il s’agira principalement d’une émission axée sur les échanges d’idées, sous forme de chroniques d’une durée de 20 à 30 minutes, suivies d’une session de questions-réponses de 30 minutes.
RÉECOUTER LE DÉBAT DU 18 MAI 23 – LE RÈGNE DES “IVOIROPHOBES”
RÉECOUTER LE DÉBAT DU 17 MAI 23 – LE 4E MANDAT DE OUATTARA
RÉECOUTER LE DÉBAT DU 17 MAI 23 – LE 4E MANDAT DE OUATTARA

POUR ECOUTER POUR PARTICIPER EN DIRECT:
●POUR PARTICIPER : 302 202 1103 CODE 697557 – POUR PARTICIPER, TAPER 5* (5 SUIVI DE L’ÉTOILE).
●POUR ECOUTER SUR VOTRE PORTABLE: 425 341 8073.
●ETATS-UNIS: 425 341 8073 / 641 552 5070 / 585 652 0611
●FRANCE: +33 180141155.
●BELGIQUE: +32 28937479.
●ROYAUME UNI: +44 3303326350.
L’ÉMISSION EST RETRANSMISE ÉGALEMENT EN DIRECT SUR LES PAGES FACEBOOK DE AFRIQUE2050 RADIO – RADIO PDCI/RDA
MERCI POUR VOTRE FIDÉLITÉ ET NOUS BATTONS DES RECORDS D’AUDIENCE.
Je profite également de cette occasion pour adresser un appel aux autorités en Cote d’ivoire pour qu’elles défendent la liberté de la presse et d’expression. Dans de nombreux pays du continent, les journalistes sont confrontés à des intimidations, à des arrestations arbitraires, à des poursuites judiciaires et à des violences physiques simplement pour avoir fait leur travail. Ces pratiques portent atteinte à la liberté de la presse et constituent une violation des droits de l’homme fondamentaux.
Les critiques constructives sont essentielles pour une société juste et démocratique. Les journalistes doivent être libres de poser des questions difficiles, de critiquer les politiques gouvernementales et de donner une voix aux citoyens ordinaires. C’est ainsi que la société peut identifier les problèmes et travailler ensemble pour trouver des solutions.
Je demande donc aux autorités africaines de protéger la liberté de la presse et de permettre aux journalistes de faire leur travail sans crainte de persécution. Les journalistes devraient être en mesure de signaler les violations des droits de l’homme et de mettre en lumière les pratiques gouvernementales injustes, sans crainte de représailles. C’est seulement en permettant à la presse de jouer son rôle de gardien de la vérité que nous pourrons construire des sociétés libres, justes et démocratiques.
JACQUES ROGER
