ÉDITORIAL: Le Grand Crime Contre l’Humanité : La Transformation de la Côte d’Ivoire en Colonie de Peuplement par la France
Le Grand Crime Contre l’Humanité : La Transformation de la Côte d’Ivoire en Colonie de Peuplement par la France
Quels sont les 5 crimes contre l’humanité ?
L’article 6c définit ainsi le crime contre l’humanité : « Assassinat, extermination, réduction en esclavage, déportation et tout autre acte inhumain commis contre toute population civile […], ou bien les persécutions pour des motifs raciaux ou religieux
Depuis de nombreuses années, la Côte d’Ivoire a été le témoin de profonds bouleversements politiques et sociaux, mais un aspect inquiétant de cette évolution est la question de la transformation du pays en une forme de colonie de peuplement sous l’influence de la France. Cette situation suscite des préoccupations quant à l’exploitation des ressources naturelles du pays et à l’impact sur la souveraineté et l’identité nationale ivoirienne.
La relation historique entre la France et la Côte d’Ivoire remonte à l’époque coloniale, mais les répercussions de cette connexion se font encore ressentir aujourd’hui. Les observateurs ont noté une tendance alarmante : la présence croissante de ressortissants français dans divers secteurs de la société ivoirienne, allant de la politique aux affaires en passant par l’éducation. Cette infiltration a suscité des inquiétudes quant à l’intérêt réel de la France dans la stabilité et le développement du pays, ou si elle vise plutôt à consolider son propre pouvoir et à exploiter les ressources ivoiriennes.
L’un des aspects les plus préoccupants de cette situation est la question de l’exploitation des ressources naturelles de la Côte d’Ivoire. Le pays est doté d’une richesse en matières premières, notamment le cacao, le café, le pétrole, le coton et bien d’autres. Cependant, les inquiétudes grandissent quant à la façon dont ces ressources sont exploitées et comment les bénéfices sont partagés entre les acteurs nationaux et étrangers. Certains accusent la France de s’impliquer activement dans l’acquisition et le contrôle de ces ressources, au détriment du peuple ivoirien.
La question de la souveraineté nationale est également soulevée par cette situation. La prédominance d’intérêts étrangers dans des domaines cruciaux tels que la politique, l’économie et même la culture, soulève des interrogations quant à la capacité de la Côte d’Ivoire à prendre des décisions indépendantes et à façonner son propre avenir. Les Ivoiriens se demandent si leur pays est en train de devenir une sorte de colonie de peuplement, où les intérêts étrangers priment sur les aspirations nationales.
Une autre source d’inquiétude découle de la forte présence de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire. Selon des experts, plus de 150 000 Libanais vivent dans le pays. Travaillant durement, ils détiennent aujourd’hui environ 40% de l’économie ivoirienne. Cette domination économique soulève des questions sur l’équité et la distribution des richesses au sein de la société ivoirienne.
Officiellement, le nombre de non-Ivoiriens s’élève à 28% (8,120,000) de la population ivoirienne estimée environ 29 millions selon le dernier recensement RGPH bâclé de la population en 2022. Cependant, officieusement, les observateurs estiment ce chiffre entre 35% et 45% de non-Ivoiriens. Si ce chiffre déjà alarmant ne suffit pas, il faut également prendre en compte les enfants nés en Côte d’Ivoire de parents non-Ivoiriens, ce qui pourrait porter le pourcentage à environ 50% à 55% voire plus. Voilà le véritable problème de la Côte d’Ivoire.
Une interrogation se pose
Une interrogation se pose : pouvons-nous enfin entamer un véritable débat sans que les partisans d’Ouattara n’utilisent des termes tels que haine, xénophobie, jalousie ou autres qualificatifs qui ont perdu leur sens à mes yeux ? La Côte d’Ivoire, avec son taux élevé d’intégration des non-Ivoiriens, n’a plus besoin de leçons à recevoir de quiconque. La mise en place d’un débat constructif pourrait nous conduire à trouver des solutions durables pour une meilleure répartition des richesses du pays entre les Ivoiriens et les non-Ivoiriens.
En somme, la question de la transformation de la Côte d’Ivoire en une colonie de peuplement par la France soulève des inquiétudes majeures quant à l’exploitation des ressources, à la souveraineté et à l’identité nationale du pays. Les Ivoiriens continuent de lutter pour préserver leur avenir et garantir que leur nation ne devienne pas un pion dans les intérêts étrangers. La vigilance et la mobilisation demeurent essentielles pour résister à ce qui est perçu comme un grand crime contre l’humanité.
JACQUES ROGER
LeConservateur